Des réponses aux questions.
Catherine, tu as tout faux cette fois ci. Ce n'est pas Richard qui a bravé la police. Tu sais bien que c'est moi la photographe à "haut risque", enfin !!!! Mais je suis sûre que tu aurais fait le voyage pour me soutenir si j'avais goûté à la prison bolivienne, n'est-ce pas ?
Lorsque nous étions au Mexique, à San Christobal de las Casas, les indiens pensaient qu'on leur volait leur âme lorsqu'on les prenait en photo. Nous imaginions une raison du même ordre en Bolivie mais notre prof d'espagnol nous dit que c'est plus par timidité, par peur de la technologie moderne ou plus prosaïquement parfois pour obtenir de l'argent.
Mireille, les gens ne sont pas dupes ; ils connaissent tous les "trucs" des touristes. Ils savent bien que l'objectif finit toujours par se fixer sur eux. Mais on arrive quand même à déjouer parfois leur vigilance. Ce n’est pas bien, hein !!!!
Les villages se situent aux alentours du salar ; il n'y a que les ouvriers des exploitations de sel qui y passent beaucoup de temps. Ils se protègent le visage mais pas toujours les mains. Autour du salar c'est le désert. Il est vrai qu'en quatre jours, nous étions un peu desséchés par le froid la nuit, la chaleur le jour, le sel et la poussière et surtout la réverbération sur ces étendues blanches. L'eau douce dans le désert est en quantité limitée et dans le salar, elle est inexistante aussi nous avons été contents de prendre une douche en arrivant.
Catherine et Anne, n'avez-vous pas reconnu Alain Vettes sur la photo des quatre dans le salar ?
Et oui Julie, moi, claustrophobe, je suis allée ramper dans la mine. Mais c'est bien la dernière fois que je me fais piéger ainsi.
Joseph, nous n'avons pas mangé de langue de llama, ou du moins pas encore ! Nous avons mangé de la langue de boeuf. Nous avons même vu sur le menu d'un restaurant de Sucre en Bolivie, de la langue de boeuf au chocolat, mais aucun de nous deux n'a eu le courage d'en commander.
Mille excuses Michelle. Tu avais raison en disant que c'était moi, Danielle, qui avait écrit le texte du blog. Nous avons oublié de te le dire.
Bonjoure c'est benjamin
RépondreSupprimer1.C'est le quelle pays qui vous a le plus plut.
2.Comment avez vous trouvez votre dernnier voyage.
Merci.
Bonjour à vous deux,
RépondreSupprimerC'est fou comme la mamie au chapeau fait très couleur locale. C'est exactement comme ça que l'on imagine les boliviennes. Bravo d'avoir réussi à la photographier sans lui enlever son âme...
Bonne continuation, les amis.
Michèle.
Désolée pour l'erreur : J'oubliais que vous êtes un couple moderne : le partage des tâches et tout et tout. C'est un peu la "tête et les jambes" : Richard écrit et toi Danielle, tu cours devant la police... hi hi hi !!! Bien entendu que j'aurais fait le voyage pour te soutenir, Danielle : une petite visite avec un filet d'oranges, et beaucoup de tourisme...sans appareil photos !Vous avez fait les plus belles !
RépondreSupprimerPlus sérieusement, votre "article" sur les mines m'a beaucoup touchée et émue : Mes arrières grands-parents paternels étaient mineurs dans le Gard (Il n'y a pas que des mines et des corons dans le Nord !)et je pense que c'est pour échapper à de telles conditions de travail que mon grand père et ma grand mère sont "montés" à Paris travailler le bois dans le Faubourg St Antoine pour l'un et faire des ménages pour l'autre.
Pour répondre à ta question, il me semblait bien avoir reconnu notre cher ZIL dans votre compagnon de voyage argentin. Mais nous ne nous étions pas encore consultées avec Anne : On travaille, nous !!! En ce moment, nous déterminons les passages anticipés : en fait de passage, nous ne proposons que des maintiens ! Des noms qui ne dirons rien aux amis bloggers mais qui rappelleront des souvenirs à Danielle : Diane, Nouredine, Yannis... Vive la retraite, n'est ce pas ?!