Réponse à la question du CM2 Aristide Briand d’Anglet.
L’histoire ne dit pas ce qu’il se passe si la Kumari perd une dent. On peut toutefois penser qu’elle le cache soigneusement afin de ne pas perdre son statut.
Mardi 5 décembre.
Nous visitons les alentours du palais impérial. Nous traversons le jardin de l’est, superbe avec ses couleurs d‘automne, ses multiples pagodes et ses pins taillés à la manière des bonzaïs.
La ville est assez différente de Hong Kong. Les buildings sont moins hauts et moins nombreux, la ville plus aérée avec des espaces verts. Peut-être à cause de l’espace, la foule semble moins dense, la ville ne donne pas cette impression de fourmilière en perpétuelle agitation que l’on ressentait à Hong Kong. Il y a beaucoup de vélos à Tokyo mais ils roulent tous sur les trottoirs qui sont heureusement suffisamment larges.
La aussi, Noël se prépare. Peut-être avec moins de frénésie qu’à Hong Kong, mais nous sommes toutefois poursuivis par « Le petit renne au nez rouge » (il a du prendre l’avion avec nous). La vie est très chère à Tokyo. Le budget explose.
Le soir, nous dînons dans les bars à sushi, assis autour d‘un petit train transportant maki, suchi et sachimi. On se sert au passage et on paye selon le nombre d‘assiettes qu’on a pris. C'est ce qu’on a trouvé de plus pratique et de moins cher : on voit ce qu’on va manger et ce qu’on va payer.
La communication reste un problème difficile à résoudre, face aux machines (ordinateurs, distributeurs automatiques de tickets...) et aux informations affichées. Tout est écrit en caractères japonais. Heureusement les gens sont toujours ravis de nous porter secours et avec trois mots d’anglais et force gestes et mimiques, on se sort de toutes les situations
L’histoire ne dit pas ce qu’il se passe si la Kumari perd une dent. On peut toutefois penser qu’elle le cache soigneusement afin de ne pas perdre son statut.
Mardi 5 décembre.
Nous visitons les alentours du palais impérial. Nous traversons le jardin de l’est, superbe avec ses couleurs d‘automne, ses multiples pagodes et ses pins taillés à la manière des bonzaïs.
La ville est assez différente de Hong Kong. Les buildings sont moins hauts et moins nombreux, la ville plus aérée avec des espaces verts. Peut-être à cause de l’espace, la foule semble moins dense, la ville ne donne pas cette impression de fourmilière en perpétuelle agitation que l’on ressentait à Hong Kong. Il y a beaucoup de vélos à Tokyo mais ils roulent tous sur les trottoirs qui sont heureusement suffisamment larges.
La aussi, Noël se prépare. Peut-être avec moins de frénésie qu’à Hong Kong, mais nous sommes toutefois poursuivis par « Le petit renne au nez rouge » (il a du prendre l’avion avec nous). La vie est très chère à Tokyo. Le budget explose.
Le soir, nous dînons dans les bars à sushi, assis autour d‘un petit train transportant maki, suchi et sachimi. On se sert au passage et on paye selon le nombre d‘assiettes qu’on a pris. C'est ce qu’on a trouvé de plus pratique et de moins cher : on voit ce qu’on va manger et ce qu’on va payer.
La communication reste un problème difficile à résoudre, face aux machines (ordinateurs, distributeurs automatiques de tickets...) et aux informations affichées. Tout est écrit en caractères japonais. Heureusement les gens sont toujours ravis de nous porter secours et avec trois mots d’anglais et force gestes et mimiques, on se sort de toutes les situations
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire